La fois où j’ai décidé d’être moins camerounaise
Il est 8h du matin, lorsque je peine à me réveiller comme à l’accoutumé. Je suis pire qu’une marmotte ces jours-ci. Et pourtant, je ne le devrais pas. Pirouette sur le lit et je me retrouve à genoux à son pied. Bon en vérité, c’est plutôt un roulé-boulé, atterrissage sur les genoux. Là, je tombe sur l’effigie de mon Président de la République. Mon voisin en est amoureux. Je l’entrevois…